Au cours des quatre dernières années, le e-commerce sur le vieux continent a connu une croissance plus forte qu'aux Etats-Unis, une tendance qui devrait se confirmer en 2012, selon une étude réalisée par le Centre for Retail Research pour le comparateur en ligne Kelkoo.
Outre-Atlantique, le shopping en ligne devrait ainsi progresser de seulement 12% à 224 milliards de dollars, tandis qu’il atteindra 208,5 milliards de dollars en Europe, en augmentation de 16 % par rapport à 2011. La France (+22%) et la Pologne (+24%) enregistreront les plus fortes progressions. Le Royaume-Uni devrait rester le leader du e-commerce avec un chiffre d'affaires annuel de 67,74 milliards d'euros, devant l'Allemagne (50,92 milliards) et la France (47,17 milliards).
De tous les médias sociaux, Twitter est celui le plus abrupt, le plus difficile à appréhender quand on démarre. Contrairement à Facebook où l’on retrouve facilement ses amis, sa famille, contrairement à LinkedIn où l’on retrouve facilement ses collègues, ses clients, sur Twitter, on démarre avec une page blanche : pour le débutant, Twitter s’apparente souvent à une caverne magique dont on a du mal à trouver l’entrée.
Ceci explique surement pourquoi le développement de Twitter est si lent en France : outil réservé à une élite (communicants, journalistes, blogueurs, etc.), il n’a pas encore vraiment touché les franges les plus variées de la population française : avocats, dentistes ou architectes sont encore rare sur Twitter.
Mais les choses devraient rapidement changer, et pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, les politiques s’y sont mis ! Pour certains l’engagement sur Twitter date de plusieurs mois, voire de deux ou trois ans, comme pour NKM. Mais dans ce dernier cas, l’utilisation de Twitter relevait de la logique d’un poste à l’économie numérique. Avec l’arrivée du premier ministre ou Nadine Morano, les choses prennent une tournure différente. Twitter devient un sujet de discussion entre non utilisateurs de l’outil, et les facéties de la campagne 2012 vont attirer bon nombre de compatriotes à la recherche de la dernière tranche de rigolade.
Ensuite, l’usage de Twitter en entreprise s’est peu à peu standardisé. Si les premières entreprises sont arrivées sur Twitter de manière un peu gauche, en se contentant de rediffuser un flux RSS ou des communiqués de presse, les postures s’assouplissent pour donner un peu plus de reliefs à ces comptes officiels : certains animateurs / community managers font leur coming-out, quand d’autres entreprises mettent en avant l’équipe d’animateurs, en clair, pour faciliter la prise de contact et les échanges. Dans le secteur de la banque et de l’assurance, on assiste même à des twitaperos entre Twittos d’entreprises concurrentes, liées par une communauté d’intérêt autour de cet outil d’expression.
Enfin, le grand public débarque depuis quelques semaines sur Twitter. Faites le test autour de vous, vous verrez de plus en plus de personnes se dire qu’après tout, pourquoi pas, Twitter peut les concerner. C’est sûr, ces néophytes n’atteindront pas du jour au lendemain la stature de super-utilisateurs de Twitter, et il leur faudra du temps et de la persévérance pour se faire remarquer. Mais rappelez-vous des débuts de Facebook, il y a 5 ans en France, à cette époque là aussi on se demandait à quoi pourrait bien servir ce nouveau réseau social…
Bref, si vous ne l’avez pas encore fait, c’est le moment de vous intéresser à Twitter.
Il y a quelques mois, Kiabi a eu la désagréable surprise de voir sa page fermée sur le champ par Facebook. 130 000 fans, aux oubliettes : oops… Motif ? Le non-respect de ses conditions générales d'utilisation (cgu) relatives aux "Promotions" (traduisez : les loteries, les jeux-concours et toute autre animation ressemblant de près ou de loin à une compétition organisée par une marque commerciale).
Si l'histoire se termine bien (la page a été réouverte 7 jours plus tard, avec en bonus un petit cadeau - de Noël ? - de 50 000 fans supplémentaires attirés par le buzz), elle a toutefois eu le mérite de mettre le doigt sur 3 sujets de fond :
:: La puissance de Facebook, celle d'une plate-forme qui a les moyens de vous priver du jour au lendemain de l'un de vos principaux accès au web, donc à vos clients. :: La notion de propriété intellectuelle : à qui appartiennent finalement les fans dans l'histoire, à Facebook ou à votre marque ? :: Et les pratiques marketing souvent anarchiques qui se sont développées depuis quelques mois sur cette plate-forme.
Voici l'occasion de faire le point une bonne fois pour toutes sur ce qu'il est désormais possible de faire (ou non) pour animer sa communauté de clients sur Facebook, en toute quiétude.
Dans le cadre d'une animation commerciale sur votre page, un jeu par exemple, sachez tout d'abord que vous ne pourrez pas conditionner la participation de vos fans à l'utilisation des fonctions dites "natives" de Facebook (fonctions natives désignant le mur, la messagerie, les fonctions de vote, de commentaire, l'up-load, etc.) Autrement dit, pour faire gagner à vos fans un joli cadeau, impossible sur votre mur de les inciter à…
• s'abonner à votre fan-page, bouton "J'aime" (Le fait d'être fan ne peut constituer un acte volontaire de participation à un jeu), • télécharger l'une de leurs photos sur votre mur, • liker, commenter l'un de vos posts ou photos, • mettre à jour leur statut ou leur photo-profil, • recruter le plus d'amis sur votre page, • se taguer dans une photo (cf l'opération Ikea, totalement hors cadre) • se géo-localiser dans votre point de vente ou tout autre lieu, • recommander votre marque ou l'un de vos produits sur leur profil personnel (ou celui de leurs amis).
Par ailleurs, il ne vous est pas non plus permis d'entrer en relation avec vos fans autrement qu'en publiant un post sur votre mur. Cqfd : pas de message direct déposé sur leur mur ou dans leur boîte (bouton "Envoyer un message") pour les inviter à jouer ou les avertir qu'ils ont gagné.
Bon, rassurez-vous ;) … même si la chose est contraignante, elle reste néanmoins possible et vous pouvez organiser autant d'animations commerciales sur Facebook que vous le souhaitez en respectant à la lettre ces 3 règles :
01 | Puisque sur votre mur il est persona non grata, créez un espace entièrement dédié à votre jeu. Un nouvel onglet par exemple que vous aurez toute liberté de nommer "Concours", et sur lequel vous installerez votre formulaire de participation. Astuce : vous n'avez pas de budget pour un tel développement technique ? Organisez ce jeu sur votre site web ou votre blog de marque et utilisez simplement le mur de votre fan-page pour inviter et rerouter vos fans vers cet espace réservé.
02 | D'autre part, veillez formellement à décharger Facebook de toute responsabilité dans votre animation. On vous demandera de : • Stipuler que Facebook ne participe nullement à l'organisation de votre animation et de préciser votre politique de confidentialité des données collectées pendant le jeu. (Mention à publier : "Cette promotion n'est pas gérée ou parrainée par Facebook. Les informations que vous communiquez sont fournies à [destinataire(s) de l'information] et non à Facebook. Les informations que vous fournissez ne seront utilisées que pour [ce que vous comptez faire des informations fournies par l'utilisateur].") Lire également les articles 1.2.1 et 1.2.2. • Ne pas utiliser dans votre animation le nom, le logo ou tout autre élément de propriété intellectuelle de Facebook, excepté comme indiqué dans les articles 2.3.1 et 2.3.2.
03 | Et enfin, respectez (évidemment) la législation de votre pays, mais également celle de l'ensemble des pays de vos fans-participants (hum, moins facile là…). Facebook a pour cela listé 6 restrictions générales qui devraient vous éviter quelques faux-pas. Lire article 2.4.
Ceci étant écrit, vous trouverez l'intégralité des conditions générales et particulières d'utilisation de Facebook ici, ici, ici et encore là. Attention, pensez bien à les consulter avant chacune de vos animations, pour pimenter le tout elles sont très régulièrement mises à
Remplacez le bâton par la carotte et vous passez du boycott… au "buycott". C'est l'un des phénomène conso qu'affectionnent les réseaux sociaux outre-atlantique qui ne devrait pas tarder à mettre un pied dans l'Hexagone d'ici peu. L'une des plus belles initiatives s'appelle CarrotMob, créée à San-Francisco par Brent Schulkin, un ex de chez Google, soucieux de mettre le pouvoir de mobilisation des communautés virtuelles au service de l'intérêt général bien réel.
Le deal ? Proposer à un commerçant de s'engager sur de meilleures pratiques écologiques (réduire sa consommation électrique en adoptant un éclairage basse tension ou en installant des panneaux solaires par exemple) en échange de quoi la communauté CarrotMob se mobilise en lui achetant massivement ses produits.
La toute première CarrotMob a permis à l'heureux élu de réaliser un chiffre d'affaires de plus de 9 000 $ en quelques heures contre 2 000 $ maximum habituellement.
Le E-Commerce est en plein essor avec plus de 30 Mds € de CA en hausse de 30% cette année et plus de 70.000 sites de vente en ligne en France.
Même si les sites marchands se banalisent, seulement 3% du commerce de détail se fait sur Internet, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir. Si vous envisagez ce canal de distribution qui peut apporter des compléments de revenus à votre activité, il faut aussi maximiser vos chances de succès. Pour transformer votre idée en activité rentable il faut respecter un certain nombre de règles.
Il d’abord construire votre propre site marchand. Pour se faire il existe aujourd’hui des outils clé en main pour créer une ligne sa boutique. Ces outils offrent toutes les fonctionnalités de la vitrine , au back-office ainsi que les moyens de paiement comme Paypal . Il faut ensuite maîtriser votre logistique pour l’expédition des Colis, la Poste étant un acteur très présent, et enfin assurer votre démarche commerciale et marketing
Il ne faudra pas oublier les aspects juridiques du commerce électronique qui sont encadrés par la Loi de protection de consommateur, la loi Chatel, qui comporte certaines obligations comme les mentions légales, les Conditions Générales de Vente qui doivent être publiées sur le site et la déclaration CNIL. Le client ayant un droit de rétractation, il faudra prévoir le retour des marchandises refusées. Un numéro de contact client doit également être mis à disposition des cyber acheteur.
Tous ces éléments permettront d’établir une confiance réciproque entre marchand et client .
Enfin, il faudra ensuite analyser et augmenter significativement le chiffre d'affaires en développant le trafic par les techniques d’emarketing : campagnes d’emailing, Référencement, affiliation .
Les réseaux sociaux peuvent également être un important levier pour développer la e-reputation ou prospecter une nouvelle clientèle.
Pour découvrir toutes les solutions disponibles pour démarrer une activité de e-commerce, lors des visites démo gratuites et des ateliers organisées par l'Echangeur PME en savoir +
Dans les démonstrations figurent Oxatis, une offre clé en main pour créer sa propre boutique ecommerce et Paypal un moyen de paiement complètement adapté au petites entreprises qui n'ont pas forcément un contrat de VAD.
Le 22 juin 2011 l'Echangeur PME de la CCIP organisait la remise des Palmes e-commerce 2011.
Voici donc les résultats tant attendus :
Palme d’or
Weezic / Grégory Dell’Era & Nicolas Arbogast / http://weezic.com
Weezic est une plateforme communautaire qui révolutionne la pratique de la musique classique. Elle permet de trouver et d’imprimer facilement des partitions gratuites pour son instrument, de jouer accompagné à son rythme par un orchestre symphonique personnalisable, de s’enregistrer et de partager ses interprétations avec d'autres musiciens ou de progresser et de s’amuser avec des jeux et modules ludo-éducatifs en ligne, le tout pour 5€ par mois en illimité.
Weezic permet un accès à une pratique musicale plus spontanée, plus vivante et plus stimulante grâce à des ressources exclusives pour des milliers de morceaux, d’un simple clic. La version bêta du site, ouverte depuis février a rencontré un franc succès avec 10.000 visiteurs uniques et 500 musiciens inscrits en deux mois.
Weezic a remporté un pack e-marketing d’une valeur de 30 000 € afin de développer ses stratégies de conquête et de fidélisation clients, offert par l’agence Ciblo
Palme d’argent
Jimmy Fairly / Sacha Bostoni & Antonin Chartier / www.jimmyfairly.com
Jimmy Fairly est opticien lunetier sur internet. Il propose des montures d’exception, designées en France et fabriquées à la main, au prix unique de 95 €, verres inclus. Pour chaque paire de Jimmy Fairly achetée, une paire de lunettes est offerte à une personne dans le besoin.
Jimmy Fairly a gagné un ‘Pack 4 formations’ d’une valeur de 1 200 € offert par l’Echangeur PME, ainsi que des coupons d’une valeur de 200€ Google ADWORDS et de publicité Facebook.
Palme de bronze
Net-investissement / Stéphane van Huffel & Karl Toussaint du Wast / www.net-investissement.fr
Net-investissement.fr est le 1er site de conseil en gestion de patrimoine global, grand public, qui référence l'ensemble des produits et solutions du marché nécessaires à la création ou à l'optimisation de votre patrimoine.
La récompense est composée de coupons d’une valeur de 200 € Google ADWORDS et de publicité Facebook, et deux abonnements à Marketing magazine et E-Commerce magazine.
Prix spécial du jury pour le projet ayant le meilleur potentiel à l’export :
Bubble / Ludovic Michetti / http://bubble-pro.com [en cours de création]
Bubble lance la première ligne innovante, design, et durable de meubles gonflables pour intérieur à destination d’une cible étudiante, active et internationale. Le site de vente en ligne sera disponible en juillet, en sept langues avec la volonté de se développer en Europe dans 3 ans puis aux USA.
Bubble a reçu un accompagnement juridique par la Chambre Nationale des Avocats d’Affaires (CNADA), et deux abonnements à Marketing magazine et E-Commerce magazine.
Après 32 mois de débats, les négociateurs européens sur le dossier de la directive droits des consommateurs sont parvenus à un accord la semaine dernière. L’accord a été avalisé en Comité des Représentants Permanents (COREPER) des Etats membres de l’Union européenne, organe chargé de préparer les réunions du Conseil, le 15 juin ainsi que par la commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs (IMCO) le 16 juin.
Le texte de l’accord sera voté par la session plénière du Parlement européen lors de la séance plénière le 23 juin prochain à Bruxelles et ensuite formellement adopté par le Conseil puis publié au Journal Officiel de l’Union européenne (JOUE) Un délai de deux ans sera ensuite accordé aux Etats membres pour transposer le texte dans leur droit national (2013).
Les principaux points de l’accord :
14 jours de délai de rétractation pour les ventes à distance et hors établissement. Le Consommateur devra ensuite renvoyer le bien au maximum dans un délai de 14 jours à partir du jour où il a communiqué au commerçant sa décision de se rétracter (par exemple avec le nouveau formulaire européen de rétractation). Une fois le bien retourné (preuve d’envoi) ou dans un délai de 14 jours après que le consommateur lui a signifié sa rétractation, le professionnel devra rembourser tous les paiements effectués par le consommateur pour le bien (y compris les frais d’envois si applicable). Pas de remboursement des frais de retour pour les marchandises dont le prix dépasse 40 euros. Les députés européens n’ont pas réussi à obtenir cette disposition d’inspiration allemande qui figurait dans le texte voté par la commission IMCO du Parlement face au refus des membres du Conseil des ministres. En échange, ils ont obtenu que les frais de retour d'un bien acheté à distance soient clairement indiqués dans le contrat de vente, de manière à permettre au consommateur de faire un choix éclairé avant de décider auprès de quel professionnel il achète un bien (disposition qui semble cependant difficile à faire appliquer au-delà d’une estimation…). Si le vendeur omet d'informer le consommateur de son droit de rétractation, le délai de rétractation sera automatiquement prolongée d'un an, comme proposé initialement par le Parlement. Harmonisation maximale pour l’information précontractuelle : les Etats membres ne pourront ajouter d’autres obligations d’informations précontractuelles (hormis des obligations d’ordre linguistique). Services financiers et biens immobiliers sont exclus du champ de la directive. Les Etats membres peuvent décider de ne pas appliquer cette directive et de ne pas maintenir ou d’introduire des règles équivalentes pour des biens ou des services dont le montant est inférieur à 50 euros. Les nouvelles règles visent également à combler une lacune dans la législation communautaire existante, en étendant le droit de rétractation du consommateur aux ventes- démonstrations à domicile (« réunions Tupperware » / « home party sales ».) et aux ventes aux enchères en ligne (avec une condition) : Pour les ventes aux enchères, le droit de retrait du consommateur ne s’applique que si le vendeur est un professionnel et non une personne privée. Les biens numériques, comme la musique, des films ou des logiciels, sont exemptés du droit de rétractation. La vente sera considérée comme conclue à partir du moment où le téléchargement débute. La livraison et la responsabilité du colis : Tout bien commandé à distance devra être remis à l’acheteur dans les 30 jours. En cas de non respect de cette règle, le consommateur pour aura le droit d’annuler sa commande. Par ailleurs, le commerçant est responsable de tout dommage ou perte du bien jusqu’à la livraison. Afin d’éviter de nouvelles charges administratives : Exemption des règles sur l’information précontractuelle pour les services à domicile « au jour le jour », d’un coût inférieur à 200 euros et pour les travaux d’urgence (dégâts des eaux…)
Lire le texte de l’accord (version consolidée) : télécharger
Après avoir révolutionné le monde du divertissement et du cinéma, la réalité augmentée commence à s'imposer sur le web et le mobile. Au delà du caractère spectaculaire de cette technologie, la réalité augmentée apporte une vraie valeur ajoutée à la relation client et au marketing grâce à l’écran du smartphone.
L’Echangeur PME vous propose de découvrir l’état actuel des usages de la réalité augmentée par les entreprises pour le développement du commerce sur le point de vente ou en ligne dans le cadre d' une conférence le mardi 7 juinProgramme et inscription
Pour comprendre la réalité augmentée , le mieux est de la voir. Voici quelques vidéos de présentation :
L’Echangeur PME vous propose de découvrir l’état actuel des usages de la réalité augmentée par les entreprises pour le développement du commerce sur le point de vente ou en ligne dans le cadre d' une conférence le 26 mai:
Google, SFR et Oxatis ont annoncé le 27 avril 2011 à l'Echangeur PME de la CCIP, le lancement d’une initiative commune pour aider les PME françaises à faire leurs premiers pas sur Internet, Mon Entreprise En Ligne.
Frédéric Lefebvre , Secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation était présent. Il a insisté sur l'importance de l'économie numérique, source de création d'emploi et du nombre encore trop important de petites entreprises ne disposant pas de site internet.
Google est un partenaire majeur de l’Echangeur PME, et il était donc logique que nous soyons à nouveau ensemble, pour le lancement de cette offre « Mon Entreprise En Ligne » aux côtés d’OXATIS également grand partenaire de l’Echangeur PME depuis un mois, précisait Jean-Paul Vermès, Vice-président de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, Chargé de l’enseignement et de la formation.
Ce projet est né d’un constat : la majorité des PME et TPE françaises n’ont pas encore franchi le pas de la création d’un site Internet, alors même que l’impact économique d’un tel outil est aujourd’hui facilement quantifiable. Ainsi, d’après une étude réalisée par le cabinet McKinsey en mars 2011, les PME qui s’appuient sur les technologies web croissent et exportent deux fois plus que la moyenne.
C’est pour aider ces entrepreneurs à faire le choix d’un nouveau mode de développement que la plate-forme Mon Entreprise En ligne, accessible depuis le site www.meel.fr a été créée. Elle permettra en effet à toute PME ou TPE de créer gratuitement un site web, qui lui servira de vitrine sur Internet. L’initiative Mon Entreprise En Ligne, qui bénéficie du haut patronage du Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, a été conçue en partenariat avec des entreprises emblématiques de l’Internet en France et s’inscrit dans une volonté d’engagement durable de Google en France.
Ainsi, Oxatis a mis toute son expertise dans le développement de la plate-forme et des outils de création de sites, tandis que SFR apporte un service de conseil et d’aide à la prise en main des technologies web au travers de son service SFR Pro 1001 (appel gratuit.). Enfin, Google propose ses outils de génération de trafic et d’optimisation de visibilité (AdWords, Adresses, Analytics...) et offre aux entrepreneurs qui s’inscriront sur www.meel.fr une première campagne de publicité Google AdWords pour une valeur de 100 euros.
Le dispositif de Mon Entreprise En Ligne est particulièrement souple et ouvert, puisque aucune obligation de souscription ni aucun engagement de durée ne sont exigés des entrepreneurs qui l’utiliseront ; d’autre part, toutes les informations des sites qu’ils créeront leur appartiennent intégralement. Autre force de ce projet – sa gratuité : en effet le nom de domaine, l’hébergement et l’outil de création du site sont offerts la première année, puis proposés ensuite pour cinq euros par mois (HT).
L’initiative Mon Entreprise En Ligne sera également présentée aux entrepreneurs dans le cadre d’une tournée en bus dans onze villes de France tout au long du mois de mai. Elle permettra de proposer formations et conférences aux PME et TPE françaises, ainsi qu’un accompagnement personnalisé et gratuit dans la création de leur site. Par ailleurs, cette tournée a pour vocation d’échanger avec les acteurs locaux sur leurs attentes, leurs expériences.
Pour Google, ce projet s’inscrit dans le cadre du plan d’investissement local annoncé lors de la visite d’Eric Schmidt à Paris en Septembre 2010 et qui comportait un volet de soutien au développement des petites et moyennes entreprises françaises.
Marc Schillaci, président du directoire d’Oxatis déclare: « mettre à disposition des entreprises des outils très simples mais qui ne sacrifie jamais la puissance nécessaire pour exercer correctement leur métier sur un Internet de plus en plus sophistiqué a toujours été notre crédo. Ce qui réunit ici Google, SFR et Oxatis, c’est la certitude que nous avons le devoir de donner accès à un nombre encore plus important de commerçants, artisans et TPE, à cette opportunité du web. »
Pour Frank Cadoret, directeur général grand public et professionnels de SFR, « s’engager dans le projet Mon Entreprise En Ligne s’inscrit dans la continuité de notre mission d’accompagnement des petites et moyennes entreprises vers le monde numérique. A travers ce partenariat avec Google et Oxatis, nous avons la volonté d'apporter les meilleurs services aux professionnels pour les aider à se développer et ainsi contribuer à leur croissance. L’ensemble de nos conseillers sont à leur écoute pour leur donner des conseils que ce soit au niveau de leur équipement ou de la création de leur site Internet."
Jean Marc Tassetto, Directeur Général de Google France précise que “pour aider les PME françaises à tirer parti de ces outils de développement, il faut déjà accompagner vers le web celles qui n’y ont pas fait leurs premiers pas. C’est en ce sens que s’est développée l’initiative “Mon Entreprise En Ligne”, qui a à coeur d’être ouverte à tous les acteurs de l’écosystème, de fournir un véritable accompagnement au niveau local et de permettre à toute entreprise, quelle que soit sa taille et son secteur d’activité, d’être visible et encore plus performante grâce à Internet. “ La tournée du bus Mon Entreprise en Ligne débutera le lundi 09 mai 2011 à Rouen avec une série de conférences et formations dans 11 villes de France, en partenariat avec les CCI locales. Après Rouen le 9 mai, le bus se déplacera à Lille le 11 mai, à Strasbourg le 12 mai, à Lyon les 16 et 17 mai, à Marseille le 18 mai, à Nice le 19 mai, à Montpellier le 23 mai, à Toulouse le 24 mai, à Bordeaux le 25 mai, à Nantes le 26 mai, et à Rennes le 27 mai. Pour plus d’informations, rendez vous sur le site dédié: www.meel.fr
Alors qu'il est vital pour les commerçants et les dirigeants de TPE/PME de communiquer auprès de leurs clients – cela reste encore, faute de moyen ou d’expertise un véritable exercice de style !
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Madmagz est un site web qui permet de créer son magazine en ligne gratuitement avec un simple accès par ouverture de compte. Trois formats sont proposés pour la lecture : web, PDF ou papier.
De nombreuses TPE/PME, mais aussi des auto-entrepreneurs, des commerçants, des indépendants, des startups… l'utilisent pour créer leur journal interne, leur magazine clients, leur newsletter, leur catalogue, leur dossier de presse .
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